Par le passé, les professionnels de la santé se fiaient au test Pap pour identifier les femmes à risque de développer un cancer du col utérin en mettant en lumière des cellules anormales dans le col de l'utérus induites par le VPH, puis en les traitant avant qu'elles ne deviennent cancéreuses. Grâce au test Pap, le nombre de femmes qui développent un cancer du col utérin a diminué.
Le test Pap n'est cependant pas infaillible. Il ne détecte pas directement le VPH, mais les cellules anormales dont il est à l'origine. C'est donc dire que lorsque seul le test Pap est administré, des cellules anormales peuvent échapper au dépistage ou ne pas être vues à temps pour prévenir le cancer du col utérin. Le test Pap devrait donc être considéré comme un simple test de dépistage.
Pour déterminer précisément si vos patientes ont le VPH, elles peuvent désormais passer un test de dépistage du VPH en plus de leur test Pap. Ce test est reconnu comme la norme de référence en matière de dépistage du cancer du col utérin, car il fait appel à une technologie moléculaire de pointe pour détecter le code génétique des quatorze types de VPH à risque élevé (oncogènes).
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brochure sur le test de dépistage du VPH